Cela fait deux ans maintenant que j'ai amené les chevaux sur "le terrain".
Mes juments, Zagaya et Quinine, sont arrivées les premières, en novembre 2004.
Ensuite, Forestiere et Cribiche, deux juments de club qui avaient besoin de repos, accompagnées de Une Belle, en transit en attendant que sa nouvelle famille soit prète à l'accueillir pour sa retraite.
Quand Une Belle a rejoint sa maison de retraite définitive, elle a été remplacée par Manade, jument de 26 ans, à la retraite elle aussi.
En 2005, 2 naissances : Recif, en janvier, fils de Cribiche, puis Akenar en avril, fils de Zagaya.
En mai 2006, Cribiche et Forestiere ont été vendues et sont parties.
D'autres chevaux , au repos ou en convalescence, ont fait de brefs séjours.
Le terrain est vallonné et très venteux. Le long de la limite nord, il y a une haie de petits arbres d'essences variées, et quelques arbres disséminés sur la surface, dont un gros manguier qui fait le bonheur des chevaux quand il fructifie.
Les installations sont minimes : 2 hectares de savane, que j'ai divisé en 3 prés au fur et à mesure du temps dont je disposais. J'ai posé des clôtures électriques, alimentées par un électrificateur solaire, un petit abri pour entreposer l'outillage, le matériel des chevaux, les produits de soins, et une structure d'ombrière couverte d'une bâche comme abri pour les chevaux. En 2005, j'ai ajouté un rond de longe.
